Dr Jean-Pierre BRINGER, chirurgien et oncologue urologie
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Le Dr Jean-Pierre Bringer est urologue au Centre Hospitalier de Béziers depuis un peu plus de 30 ans.
Formé à Montpellier puis à Strasbourg où il a débuté sa carrière, c’est pour remplacer son père, également urologue, qu’il est revenu dans l’Hérault, posant définitivement ses valises à Béziers. « Le choix de cette spécialité médicale s’est faite grâce à mon père. Je l’ai ainsi découverte dès mon plus jeune âge. Cela m’a plu et j’ai choisi de m’y investir totalement. »

Il se consacre alors pleinement à cette discipline, « la plus ancienne spécialité en chirurgie » explique-il avec fierté. L’étendue du champ de cette discipline est telle que, 30 ans après, le Dr Bringer l’exerce avec la même passion qu’à ses débuts. « C’est que j’ai vécu toutes ses évolutions avec, notamment, une évolution des techniques et des possibilités diagnostiques que je découvre encore de nouveaux horizons. » Le développement de l’endoscopie urologique, le déploiement de la robotique et maintenant l’arrivée de la chirurgie au laser sont autant de progrès techniques au bénéfice du patient.

Avec une thèse sur l’impuissance chez l’homme et un DU de cancéro-urologie, ce chirurgien a progressivement évolué vers la prise en charge des cancers urologiques. « L’amélioration des techniques de dépistage, des outils mis à notre disposition et d’une grande campagne de sensibilisation des médecins de ville ont permis de mieux prendre en charge ces cancers avec des traitements plus ciblés et de les diagnostiquer plus tôt pour de plus grandes chances de guérison. »

Les avantages de travailler au Centre Hospitalier de Béziers pour le Dr Bringer reposent sur :
• le grand nombre de patients potentiels,
• l’accès à un plateau techniques de pointe,
• des urgences bien structurées
• un service de réanimation au top.

Pour finir, « j’ai espoir, qu’avec les nouvelles générations, l’hôpital de Béziers développe plus l’urologie car c’est une spécialité d’avenir, à la pointe de la technologie, nécessaire » à un bassin de population de plus de 300 000 habitants où le taux de séniors est important. « Et, dans ces conditions, il ne faut pas négliger les partenariats public-privé car nous, les médecins "mixtes", c’est-à-dire, travaillant dans les deux structures, permettons de créer des passerelles, d’effacer les distances », pour améliorer et fluidifier les prises en charge et les suivis patients.